Glossaire


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2. Les trois origines de la réciprocité symétrique

Résumé :

La Tradition ne connaît que la « réciprocité ».

Quelle contrainte nouvelle nous conduit à cette précision (symétrique) et que signifie-t-elle ?

Lorsque le terme de réciprocité est utilisé pour des prestations humaines et lorsqu’il ne connote pas une prestation d’échange, il est très généralement synonyme de réciprocité des dons.

Or, l’interprétation de la vengeance comme autre forme de réciprocité nous a obligés à préciser deux acceptions différentes de la réciprocité : la réciprocité positive  (lire la définition) pour la réciprocité des dons, la réciprocité négative  (lire la définition) pour la réciprocité de vengeance.

Chacune de ces deux formes de réciprocité va déterminer l’imaginaire dans lequel s’exprime la valeur produite par la réciprocité de façon spécifique (le prestige et l’honneur).

Il reste à délivrer la valeur engendrée par la réciprocité de ces imaginaires, ce qui revient à imaginer des structures de réciprocité  (lire la définition) où les deux polarités antagonistes positive et négative s’annulent l’une l’autre.

Il devient alors nécessaire d’inventer un terme qui caractérise cette forme de réciprocité (égale, pure, neutre, parfaite...). Nous avons choisi le terme de « symétrique », en attendant que se dégage une acception consensuelle à son égard. Mais il existe trois origines possibles à cette forme de réciprocité.

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Lire l’article : « Les origines de la réciprocité symétrique à partir de la réciprocité positive et de la réciprocité négative ».

Dominique TEMPLE

8 juillet - 17 Septembre 2006

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